Collection Soumise. Je Deviens Un Objet Sexuel. LOrage (10/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens de franchir une étape, après ce que jai subi avec délice dans la camionnette, au marché, ayant fait une erreur avec Jacques le frère de Maître Albert, mon mentor. Sans oublier que jai carrément refusé de suivre Pierre que je peux considérer comme mon ex.
De toute façon, il semble mavoir remplacé, par une salope quil a baisée sur un sentier de randonnée au bord dun petit lac alors quil disait me chercher.
Alors, j'ai décidé de rester chez mon nouveau Maître.
Ça fait deux jours que je prends mon bain à 2 degrés tous les matins.
Ce qui me plait avec Maître Albert, cest quil est fidèle à sa parole, même si la température de leau semble être une vengeance à mon exigence.
Je continue à nourrir mes lapinous, ces petites bêtes mangent beaucoup et je dois couper de plus en plus de pissenlits.
Fidèle à son habitude, et à ma situation de chienne, bonne à baiser, Maître Albert vient régulièrement mhonorer et ma chatte adore se faire défoncer, depuis la première fois, mon fourreau est à l'exacte dimension du morceau quil me propose.
Que dire de mon anus, il commence à se distendre de plus en plus, mais je nen ai cure, sil veut me baiser, il me baise et en plus je dis merci !
Je suis au travail ce vendredi, jai déjà coupé la moitié de mon panier quand le ciel noir qui menaçait ce transforme en orage.
Depuis des semaines que la pluie nous a abandonnée, ça va être bon pour le champ, de nouveaux pissenlits vont pousser.
Jai une peur bleue des orages, surtout quun éclair zèbre et vient sabattre sur la forêt voisine doù sortent les renards que nous sommes obligés de chasser pour éviter quils viennent bouffer nos poules et nos lapinous.
Nécoutant que mon courage, quand les premières gouttes viennent singler mon dos, je me relève et rentre en courant vers la grange.
Mon Maître est là, la casquette toujours vissée sur sa tête.
Il va falloir que je lui en achète une autre au marché mardi, à son regard, je vois quil est courroucé, quai-je fait de mal ?
Je naime pas ce regard, il avait le même lorsquil ma offert à son frère dans la camionnette.
Ou vas-tu ?
Me mettre à labri, il tombe des cordes, jai peur des éclairs.
Et les lapins ?
Quoi les lapinous ?
Les lapins ça mange, ça grossit, ça fait des petits, il est impossible de donner les mâles à leur mère comme pour nous les hommes, cest pour cela quils finissent au marché.
Les femelles rencontrent des mâles, jen rachète à Louis pour croiser lespèce. Quand elles ont eu plusieurs portées, direction le marché comme les mâles, mais pour arriver à avoir de belles bêtes il faut quelles mangent.
Si tu crois que ton demi-panier va leur suffire, tu te mets le doigt dans lil. Lorage je men fous, je men contrefou, de plus tu es revenue en te levant, va derrière dans le tube et rapporte la cravache.
La cravache, je vais ramasser une râclée à cause de ma peur de lorage.
Il faut que je lui sois plus que soumise pour ne pas me sauver en courant, même nue. Il me suffirait de dire au village quel tyran il est.
Chiche !
Pourquoi me dites vous, chiche, Maître Albert ?
Quas-tu de tatoué sur ton cou ?
A13, Albert 13, je suis votre treizième soumise.
Tu crois que la façon dont tu as regardé le chemin menant au village, je ne le connais pas ?
Toutes depuis A1, même si ça a été la soumise parfaite, se sont posées la question si elles nallaient pas partir en courant.
Elle l'a fait, ce sont mes amis qui me lont remontée.
Ils ont trop besoin de moi, pour mon don, dailleurs tu verras cela demain matin. Tu as trois secondes pour disparaitre et revenir avec la cravache.
Je suis brisée.
Derrière comme devant la grange, lorage fait rage, je sais que la cravache va me déchirer.
Je cherche à ouvrir la porte latérale de la camionnette, qui semble bloquée.
Des grêlons comme des billes tombent venant me cingler le dos, je dois aller jusquà la porte arrière pour entrer et être provisoirement à labri.
Je suis transie, jai presque envie de courir me cacher dans ma cage.
Mais je sais que le temps presse quand je prends mon engin de en main.
Il me faut rejoindre Maître Albert le plus vite possible, je lai déjà mis en colère. Malgré la grêle quand je ressors, je ferme consciencieusement la porte, cest lenfer, ça zèbre de partout.
Pose la cravache sur la table et donne-moi tes mains.
Qua-t-il encore inventé ?
Je mattendais à me mettre à quatre pattes comme dans la camionnette, mais il a une corde avec un nud coulant attaché au palan que jai vu depuis mon arrivée et que je lui croyais utile dans certains travaux.
Les lapinous, avant dêtre exécutés, avaient la tête en bas, moi cest la tête en haut que je mapprête à finir ma vie, il est impossible de survivre à une telle épreuve.
Mes bras vont se déchirer, je sens mes jointures à la hauteur des épaules se tendre dès quil tire sur la corde quil a prise en main.
Au début, mes pieds au sol me permettent de supporter la douleur, mais très vite, je me trouve décollée du sol.
Il est possible quil mette une bassine sous moi pour récolter mon sang pour faire sa sauce.
Va-t-il mégorger ou menlever un il, jai ces pensées quand le premier coup de cravache atteint mes seins, ils bougent, denses et lourds comme ils sont, au fil des coups quils reçoivent.
Je hurle et je me mets à me tortiller, jessaye datteindre son bras avec mes jambes, il esquive.
Je vois quil faut que jemploie les grands moyens.
Je suis fatiguée de ruer, je reste pendue attendant la suite.
Il prend un lien sur la table, me ceinture les jambes dun bras puissant et mattache les pieds.
Je lui balançais une jambe après lautre écartant ma chatte au passage, comme je suis lisse, mes lèvres sont luisantes.
Là je suis prise.
Tout juste, jarrive à me balancer, mais dès que le deuxième coup zèbre mes fesses, je sais que je dois subir son courroux qui semble grand.
Je comprends que ses lapinous ont plus de valeur que mes fesses, ma chatte ou mes seins.
Dans mon champ de vision, le petit lapinou sétant échappé me regarde, il penche sa tête de droit à gauche comme sil réfléchissait, quil se méfie, sil me nargue et que je latt, malgré tout lamour que je peux avoir pour les lapinous, je vais en faire un civet.
Combien de temps, subis-je la punition ?
Impossible de le dire, car je tourne de lil, comme de bien entendu.
Ma mort est pour plus tard et cest dans le spa à température normale que je reprends pied.
Je suis assise dans leau me soulageant dun côté.
Mais comme je suis sur mes fesses, jai énormément mal.
Une nouvelle fois, le soin quil a pris à me mettre dans cette eau à température me montre pourquoi jaime Maître Albert.
Aller, lorage est passé, va finir de donner à manger aux lapins, laver leurs cages et toccuper des poules.
Jai remis des ufs dans les six pondoirs, je les ai peints en rouge, fait gaffe, pour finir tu iras biner les poireaux et butter les patates.
Bien Maître.
Je vois que tu es revenue dans de meilleurs sentiments, si tu es sage, ce soir tu dîneras à ma table, jai cuisiné un lapin, celui que tu as refusé de , le client qui me lavait commandé ma fait faux bon.
Mon Maître men veut, il souffle le chaud et le froid, il minvite mais pour manger du lapinou, ce nest pas un Maître, cest un sadique.
Jai peur de tout renvoyer, il serait capable de me faire tout récupérer.
Je réussis tout bien, aucune fosse note, heureusement au pied de mon Maître, jai mal aux fesses quand je les pose sur le carrelage.
Il me donne les cotes du lapinou, contrairement à ce que je pensais, cest bon, même si ça ne vaut pas un bon steak.
Comme je suis placée, je ne vois pas ce quil fait. Je devine quavec son Opinel, il appuie sur un os qui craque.
Tient, mange la cervelle, cest le morceau de roi dans un lapin, cest un honneur que je te fais.
Je nai pas le temps de me reprendre, je jonche le carrelage.
Va chercher de quoi nettoyer, tu me fais honte, tu nen veux pas, je la mange.
À le voir manger la cervelle, heureusement que dans nos rapports, il ne ma jamais embrassé, je serais capable davoir quelle réserve de lapinou au fond de mon estomac et de lui servir directement bien chaud.
Va dans ta cage, je saurais me souvenir de ton affront, demain je reçois les personnes qui montent pour profiter de mon don.
Je sais que lorsquil me dit quil va se souvenir, dans les heures prochaines, jaurai le droit à son courroux, mais pour le moment, je file me coucher.
Je pense dormir facilement après cette rude journée, mais quand je lanalyse bien, jai adoré.
Mon Maître a des ressources, javais pris lhabitude de dormir lumière allumée, il a dû déclencher un système, mis en place par Fred, la lumière sallume puis séteint, puis sallume puis séteint, puis sallume puis séteint.
Il na pas traîné pour se souvenir de laffront
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